Un chœur d’hommes existait à Champagne dès les années quatre-vingt du 19 ème siècle. En 1884, Grandson fonde son Corps de musique et quelques habitants du village qui pratique la musique instrumentale rejoignent cet ensemble.
En 1920, aidés par leurs amis de Grandson, encouragés par leur employeur Louis Bourquin qui apporte l’appui financier de « La Nationale S-A. » où plusieurs d’entre eux travaillent, ils décident courageusement de fonder un nouvel ensemble instrumental sous le nom de Corps de musique de Champagne.
Lors de la fête qui marqua le cinquantenaire de la société en 1970, trois des fondateurs étaient encore de ce monde, Alfred Giroud, Arthur Patthey et Henri Banderet.
Déjà les premières années, une concurrence certaine se fit jour entre les deux sociétés du village. Ainsi, elles équipèrent la scène de la grande salle du Cercle de leurs propres décors et de leur rideau de scène qui s’ouvrait pour celui du Corps de musique et qui se déroulait pour celui de la Concorde. Pour leurs soirées annuelles, les deux sociétés montaient une pièce de théâtre. Certaines d’entre-elles marquèrent la vie du village pour longtemps. Cette activité littéraire mobilisait la population, surtout les filles qui trouvaient là une activité valorisante.
Les soirées annuelles avaient leur rituel, le Corps de musique invitait ses membres passifs et la population le vendredi soir pour la générale, le samedi soir, le dimanche soir ainsi que le dimanche après-midi pour les enfants et cela toujours le deuxième samedi de décembre. La Concorde faisait de même en février où, lors de la soirée du samedi on vendait le mimosa. Ces deux manifestations structuraient la vie sociale du village, tout d’abord par leur préparation qui mobilisait largement la population et par les représentations qui ne laissaient personne à la maison-
La musique instrumentale : une affaire de famille
Au sein de toutes les sociétés de musique du pays, la relève s’effectue premièrement par les familles des musiciens. Champagne ne faisait pas exception à cette règle et nous gardons le souvenir de ces membres alliés par le sang :
Henri Banderet , son fils Samuel & son neveu Jacques Bessero.
Alfred Giroud ,son fils André & son petit-fils Daniel.
Alphonse Dagon & son fils Georges.
Les frères Aimé & Ami Tharin.
Marcel Beauverd & son fils Freddy.
Léon Gonin & son fils Edouard.
Charles Perdrix ,ses fils Marc, Jean-Daniel & René, ses petits-enfants Jean,Laurence & Marie-Florence-
Emile Ducommun & son fils Michel.
Jean Moser & son fils Rodolphe.
René Duvoisin & son cousin Jacques Tissot.
Paul Wittwer & ses fils Daniel & Raymond.
Alfred Heubi & son fils Gilbert.
Les frères Edmond & Jacques Giroud.
Bertrand Blanchet & ses sœurs Françoise & Arlette.
Louis-Georges Debétaz & sa sœur Silvana.
François Duvoisin & ses deux fils.
J’arrête ici cette liste qui n’est sûrement pas exhaustive à l’année 1995, au moment oû l’entente avec la Centenaire devient effective. Nous pourrons la reprendre au chapitre de la nouvelle société qui prend le relais sous le nom de « Corps de musique La Centenaire Champagne-Onnens »
La vie de la société, ses participations, ses ambitions.
La soirée annuelle était la manifestation régulière la plus importante. Elle nécessitait la mise au point d’un programme de pièces nouvelles qui, d’une part devaient plaire au public et d’autre part satisfaire les musiciens qui les préparaient. Comme le concert était agendé au début de décembre, il fallait s’y prendre tôt pour le préparer.
D’autre manifestations mobilisaient la société. La principale était le Giron des musiques du nord auquel elle a toujours participé. A deux reprises, elle a organisé cette grande fête qui a laissé d’excellents souvenirs aux musiciens ainsi qu’à toute la population qui s’était mobilisée pour présenter Champagne sous ses plus beaux atours. La première fois en 1950 avec la participation de 18 sociétés ( un record) et la deuxième en 1974 oû encore 12 ensembles inaugurèrent la nouvelle formule qui voyait les sociétés se produire à deux reprises, soit à l’église devant le jury avec le morceau choisi ainsi qu’à la cantine avec un programme récréatif.
Chaque année, depuis 1940, le Corps de musique a participé à la réunion des musiques du Mont-Aubert qui bientôt prit, lui aussi, le nom de giron.
Dès l’été de 1939, la vie de la société fut conditionnée par les plus ou moins longues périodes de mobilisation de ses membres. Les nombreuses absences perturbaient les répétitions et rendaient difficiles les prestations publiques de toute façon moins nombreuses en cette période de guerre. Dés la fin de celle-ci, la vie de la société reprit un cours très actif et l’arrivée à la direction d’Albert Kindermann dit « Jules Pantet » conduisit bientôt le Corps de musique à son premier concours cantonal à Montreux en 1950. Le succès obtenu fut longtemps un sujet de fierté pour tous les musiciens qui y participèrent.
Dès sa création, la base du Corps de musique était située à l’Hôtel du Raisin. Local de répétition et lieu de réunion, il voyait la société jouer quelques marches devant l’Hôtel au départ de toutes les sorties de la société et souvent encore lors de la rentrée au village. Champagne vivait ainsi au rythme des sa fanfare. Les fêtes étaient nombreuses et les cortèges fréquents, toujours conduit par le Corps de musique.
Les membres les plus âgés ayant exprimé le vœu de pouvoir une fois au moins, participer à une fête fédérale, le Corps de musique décida de préparer celle de 1971 à Lucerne. Inscrit en 3ème division, il interpréta devant le jury sa pièce de choix, « Indian Summer » d’Eric Ball et « Morgarten » de Jean Dätwyler, la pièce imposée. Ce fut un succès total avec deux mentions d’excellence qui furent mises au crédit du chef d’alors, René Widmer et qui récompensèrent l’intense travail fournit par la trentaine de musiciens.
Quelques difficultés avec le nouveau tenancier de l’Hôtel du Raisin amenèrent la société à solliciter la commune pour doter le Corps de musique d’un local de répétition bien à lui. Avec l’engagement des membres de participer de manière importante à son aménagement, la commune nous concéda une salle au rez inférieur du collège. La société s’y installa, chez elle, au printemps 1975 pour son plus grand confort. Elle y installa une petite buvette qui , rapidement, amena les membres à changer leurs habitudes et à s’attarder autour d’une table conviviale où ils se proposèrent de refaire, non seulement la société, mais bien l’ensemble du monde.
Assez régulièrement, le Corps de musique participa aux fêtes cantonales ainsi qu’à la fête fédérale de Lausanne en 1981. Jamais le résultat ne fut au niveau de celui obtenu à Lucerne qui resta longtemps dans la mémoire des musiciens.
Le Corps de musique & l’argent.
Toutes les sociétés de musique se heurtent à un problème récurrent, celui de réunir les moyens financiers nécessaires à leur activité. Au cours des cinquante premières années d’existence du Corps de musique, tous les instruments appartenaient à la société qui assumait également leur entretien. Au travers de la présidence honoraire de Louis Bourquin, La Nationale finança à plusieurs reprises des achats importants. Des appels de fonds au public permirent de financer l’achat de deux drapeaux et de trois uniformes. C’était là des dépenses extraordinaires, mais l’activité quotidienne nécessitait aussi des moyens importants. L’achat de la musique, le paiement des droits à la Suiza, le salaire du directeur, le financement des participations aux girons grevaien
Un chœur d’hommes existait à Champagne dès les années quatre-vingt du 19 ème siècle. En 1884, Grandson fonde son Corps de musique et quelques habitants du village qui pratique la musique instrumentale rejoignent cet ensemble.
En 1920, aidés par leurs amis de Grandson, encouragés par leur employeur Louis Bourquin qui apporte l’appui financier de « La Nationale S-A. » où plusieurs d’entre eux travaillent, ils décident courageusement de fonder un nouvel ensemble instrumental sous le nom de Corps de musique de Champagne.
Lors de la fête qui marqua le cinquantenaire de la société en 1970, trois des fondateurs étaient encore de ce monde, Alfred Giroud, Arthur Patthey et Henri Banderet.
Déjà les premières années, une concurrence certaine se fit jour entre les deux sociétés du village. Ainsi, elles équipèrent la scène de la grande salle du Cercle de leurs propres décors et de leur rideau de scène qui s’ouvrait pour celui du Corps de musique et qui se déroulait pour celui de la Concorde. Pour leurs soirées annuelles, les deux sociétés montaient une pièce de théâtre. Certaines d’entre-elles marquèrent la vie du village pour longtemps. Cette activité littéraire mobilisait la population, surtout les filles qui trouvaient là une activité valorisante.
Les soirées annuelles avaient leur rituel, le Corps de musique invitait ses membres passifs et la population le vendredi soir pour la générale, le samedi soir, le dimanche soir ainsi que le dimanche après-midi pour les enfants et cela toujours le deuxième samedi de décembre. La Concorde faisait de même en février où, lors de la soirée du samedi on vendait le mimosa. Ces deux manifestations structuraient la vie sociale du village, tout d’abord par leur préparation qui mobilisait largement la population et par les représentations qui ne laissaient personne à la maison-
La musique instrumentale : une affaire de famille
Au sein de toutes les sociétés de musique du pays, la relève s’effectue premièrement par les familles des musiciens. Champagne ne faisait pas exception à cette règle et nous gardons le souvenir de ces membres alliés par le sang :
Henri Banderet , son fils Samuel & son neveu Jacques Bessero.
Alfred Giroud ,son fils André & son petit-fils Daniel.
Alphonse Dagon & son fils Georges.
Les frères Aimé & Ami Tharin.
Marcel Beauverd & son fils Freddy.
Léon Gonin & son fils Edouard.
Charles Perdrix ,ses fils Marc, Jean-Daniel & René, ses petits-enfants Jean,Laurence & Marie-Florence-
Emile Ducommun & son fils Michel.
Jean Moser & son fils Rodolphe.
René Duvoisin & son cousin Jacques Tissot.
Paul Wittwer & ses fils Daniel & Raymond.
Alfred Heubi & son fils Gilbert.
Les frères Edmond & Jacques Giroud.
Bertrand Blanchet & ses sœurs Françoise & Arlette.
Louis-Georges Debétaz & sa sœur Silvana.
François Duvoisin & ses deux fils.
J’arrête ici cette liste qui n’est sûrement pas exhaustive à l’année 1995, au moment oû l’entente avec la Centenaire devient effective. Nous pourrons la reprendre au chapitre de la nouvelle société qui prend le relais sous le nom de « Corps de musique La Centenaire Champagne-Onnens »
La vie de la société, ses participations, ses ambitions.
La soirée annuelle était la manifestation régulière la plus importante. Elle nécessitait la mise au point d’un programme de pièces nouvelles qui, d’une part devaient plaire au public et d’autre part satisfaire les musiciens qui les préparaient. Comme le concert était agendé au début de décembre, il fallait s’y prendre tôt pour le préparer.
D’autre manifestations mobilisaient la société. La principale était le Giron des musiques du nord auquel elle a toujours participé. A deux reprises, elle a organisé cette grande fête qui a laissé d’excellents souvenirs aux musiciens ainsi qu’à toute la population qui s’était mobilisée pour présenter Champagne sous ses plus beaux atours. La première fois en 1950 avec la participation de 18 sociétés ( un record) et la deuxième en 1974 oû encore 12 ensembles inaugurèrent la nouvelle formule qui voyait les sociétés se produire à deux reprises, soit à l’église devant le jury avec le morceau choisi ainsi qu’à la cantine avec un programme récréatif.
Chaque année, depuis 1940, le Corps de musique a participé à la réunion des musiques du Mont-Aubert qui bientôt prit, lui aussi, le nom de giron.
Dès l’été de 1939, la vie de la société fut conditionnée par les plus ou moins longues périodes de mobilisation de ses membres. Les nombreuses absences perturbaient les répétitions et rendaient difficiles les prestations publiques de toute façon moins nombreuses en cette période de guerre. Dés la fin de celle-ci, la vie de la société reprit un cours très actif et l’arrivée à la direction d’Albert Kindermann dit « Jules Pantet » conduisit bientôt le Corps de musique à son premier concours cantonal à Montreux en 1950. Le succès obtenu fut longtemps un sujet de fierté pour tous les musiciens qui y participèrent.
Dès sa création, la base du Corps de musique était située à l’Hôtel du Raisin. Local de répétition et lieu de réunion, il voyait la société jouer quelques marches devant l’Hôtel au départ de toutes les sorties de la société et souvent encore lors de la rentrée au village. Champagne vivait ainsi au rythme des sa fanfare. Les fêtes étaient nombreuses et les cortèges fréquents, toujours conduit par le Corps de musique.
Les membres les plus âgés ayant exprimé le vœu de pouvoir une fois au moins, participer à une fête fédérale, le Corps de musique décida de préparer celle de 1971 à Lucerne. Inscrit en 3ème division, il interpréta devant le jury sa pièce de choix, « Indian Summer » d’Eric Ball et « Morgarten » de Jean Dätwyler, la pièce imposée. Ce fut un succès total avec deux mentions d’excellence qui furent mises au crédit du chef d’alors, René Widmer et qui récompensèrent l’intense travail fournit par la trentaine de musiciens.
Quelques difficultés avec le nouveau tenancier de l’Hôtel du Raisin amenèrent la société à solliciter la commune pour doter le Corps de musique d’un local de répétition bien à lui. Avec l’engagement des membres de participer de manière importante à son aménagement, la commune nous concéda une salle au rez inférieur du collège. La société s’y installa, chez elle, au printemps 1975 pour son plus grand confort. Elle y installa une petite buvette qui , rapidement, amena les membres à changer leurs habitudes et à s’attarder autour d’une table conviviale où ils se proposèrent de refaire, non seulement la société, mais bien l’ensemble du monde.
Assez régulièrement, le Corps de musique participa aux fêtes cantonales ainsi qu’à la fête fédérale de Lausanne en 1981. Jamais le résultat ne fut au niveau de celui obtenu à Lucerne qui resta longtemps dans la mémoire des musiciens.
Le Corps de musique & l’argent.
Toutes les sociétés de musique se heurtent à un problème récurrent, celui de réunir les moyens financiers nécessaires à leur activité. Au cours des cinquante premières années d’existence du Corps de musique, tous les instruments appartenaient à la société qui assumait également leur entretien. Au travers de la présidence honoraire de Louis Bourquin, La Nationale finança à plusieurs reprises des achats importants. Des appels de fonds au public permirent de financer l’achat de deux drapeaux et de trois uniformes. C’était là des dépenses extraordinaires, mais l’activité quotidienne nécessitait aussi des moyens importants. L’achat de la musique, le paiement des droits à la Suiza, le salaire du directeur, le financement des participations aux girons grevaient très régulièrement les budgets.
Les soirées annuelles, avec les contributions des membres passifs étaient d’un bon rapport. Longtemps, durant l’été, le Corps de musique organisait une kermesse. Les sociétés locales possédaient un pont de danse couvert que l’on montait dans le parc « Mont Fleury ». Le public était attiré par la danse menée aux sons de la « Petite équipe » des musiciens de la société ainsi que par les nombreux jeux où les enfants et surtout les aînés s’acharnaient afin de figurer dans le classement final.
Jeux de quilles, tir au flobert, jeu des marins, fléchettes, pêche miraculeuse, jeu de quilles de table, et surtout jeu du tonneau où les enragés persistaient longtemps à nourrir une grenouille de fer qui n’en demandait pas tant.
A trois reprises, durant les années septante, la kermesse fut déplacée à la « Magnenaz » rière Mauborget où le Corps de musique convia la population autour d’un repas le dimanche à midi. Le succès fut au rendez-vous au-delà de toutes les attentes, mais des dispositions de police sanitaire empêchèrent de poursuivre cette rencontre.
La commune de Champagne, au moyen du subside annuel, a soutenu l’activité musicale de sa population, principalement au travers de l’école de musique.
t très régulièrement les budgets.
Les soirées annuelles, avec les contributions des membres passifs étaient d’un bon rapport. Longtemps, durant l’été, le Corps de musique organisait une kermesse. Les sociétés locales possédaient un pont de danse couvert que l’on montait dans le parc « Mont Fleury ». Le public était attiré par la danse menée aux sons de la « Petite équipe » des musiciens de la société ainsi que par les nombreux jeux où les enfants et surtout les aînés s’acharnaient afin de figurer dans le classement final.
Jeux de quilles, tir au flobert, jeu des marins, fléchettes, pêche miraculeuse, jeu de quilles de table, et surtout jeu du tonneau où les enragés persistaient longtemps à nourrir une grenouille de fer qui n’en demandait pas tant.
A trois reprises, durant les années septante, la kermesse fut déplacée à la « Magnenaz » rière Mauborget où le Corps de musique convia la population autour d’un repas le dimanche à midi. Le succès fut au rendez-vous au-delà de toutes les attentes, mais des dispositions de police sanitaire empêchèrent de poursuivre cette rencontre.
La commune de Champagne, au moyen du subside annuel, a soutenu l’activité musicale de sa population, principalement au travers de l’école de musique.
René Perdrix
Société Fondée en 1920
1er statuts de la société en vigueur jusqu'en 1976
Groupe théatral du Corps de Musique
Pièce l'Ami Fritz 1923
Pièce Une cause célèbre 1925
Exemple de demande de costumes pour les pièces de théatre
1924 - Quelques petits soucis lors d'une sortie du Coprs de Musique
1926 Problème à l'issue de la Kermesse
1929 Le Coprs de Musique intégre les Sociétés locales de Champagne
Participation au Giron du Nord au Lieu 1933
Photo de groupe 19??
1928 Abbaye de Champagne
Non datée - Cortège sans uniforme
Non datée - Animation de l'abbaye de Champagne
1935 Premiers uniformes pour la société
193X Quelques clichés dans la première tenue du Corps de Musique de Chamapagne
Famille Perdrix : Marc, Charles et Jean-Daniel
1943 Participation au premier Giron du Mt Aubert à Onnens
Historique création Giron du Mt Aubert 1942
1950 Giron de Nord à Champagne
Fanfare de Thierrens
Ensemble de jeunes du Coprs de Musique : "L'Avenir"
1952 Giron du Mt Aubert à Champagne
1955 Inauguration des nouveaux uniformes de la société
Contrat d'achat
19xx- Famille Perdrix dans leurs nouvelles tenues
René, Jean-Daniel, Charles et sa petite-fille Fabienne et Marc Perdrix
1957 Modification du subside
1964- 12 septembre. Participation à la journée du Nord vaudois de l'Exposition nationale 1964 à Lausanne.
1970 Le Coprs de Musique Inaugure une nouvelle bannière
Historique Corps de Musique Drapeau 1970
Organisation par le Corps de Musique du Giron du Nord 1974
Petite équipe du Corps de Musique 1974
1976 - Changement des status de la société
Historique Corps de Musique Statuts 1976
1977 Le Directeur M. Superchi
Soirée annuelle
Photo de groupe 198?
1986 Giron du Nord à Onnens
1995 Collaboration avec la Centenaire d'Onnens
Dès 1995 Le Corps de Musique s'associe avec la centenaire d'Onnens afin de jouer ensemble. Historique Fusion des deux sociétés
Corps de Musique 1995
1999 Inauguration de nouveaux uniformes avec la Centenaire
Inauguration des uniformes 1999
Un grand merci à la famille Perdrix pour la mise à disposition de leur photos personnelles qui nous ont permis de mettre quelques souvenirs sur l'histoire de notre société.